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Ne vapotez pas si vous ne fumez pas. Le vapotage est une transition vers une vie sans tabac puis sans dépendance.

Les erreurs courantes des vapoteurs débutants et comment les éviter

Catégories : Actualités

Passer de la cigarette traditionnelle à la vapoteuse implique quelques ajustements dans sa manière de fumer. Une version électronique offre des sensations légèrement différentes et ne s’utilise pas tout à fait de la même manière, c’est pourquoi de nombreux débutants commettent certaines erreurs. Parmi les plus courantes, le choix d’un appareil inadapté, un mauvais dosage de e-liquide ou encore la négligence de l’entretien du matériel. O Vap Store vous propose un guide pour découvrir ces problèmes fréquents et mieux les contourner. 

Choisir un matériel inadapté

L’erreur la plus fréquente des débutants semble assez logique et consiste à acheter du matériel mal adapté. Commencer la vape implique de découvrir une nouvelle manière de fumer et il n’est pas rare de se perdre dans un océan d’informations et de finir par sélectionner une vapoteuse en raison de son look plus que de ses caractéristiques techniques. Ainsi, de nombreux primovapoteurs optent pour une cigarette électronique qui ne répond pas vraiment à leurs besoins ou à leur niveau de consommation de nicotine. Il est facile de se tromper et de choisir un modèle trop puissant ou pas assez, ou bien trop compliqué à utiliser, par exemple.

Pour démarrer la vape, il est nécessaire de se poser plusieurs questions, notamment sur son profil du fumeur, la quantité de cigarettes fumées par jour ou encore la tolérance à la nicotine. Ensuite, pour commencer sa pratique, on recommande de privilégier des équipements simples, tels que les kits de démarrage ou les pods, qui garantissent une dose de nicotine suffisante et un goût correct sans être trop difficiles à manipuler.

Sélectionner un taux de nicotine inapproprié ou un mauvais e-liquide

Choisir le bon taux de nicotine lorsqu’on commence à vapoter n’est pas forcément chose facile. Un grand nombre de débutants sous-estiment ou surestiment leur consommation, ce qui peut engendrer des effets indésirables : maux de tête, vertiges ou même nausées liées à un surdosage, manque et irritabilité en cas de sous-dosage. Or, la gestion de la nicotine représente un facteur clé dans la réussite du sevrage tabagique, c’est pourquoi il est crucial de veiller à sélectionner le bon dosage.

Pour les fumeurs occasionnels, on conseille habituellement de démarrer avec 3 mg/l. Les profils consommant entre 5 et 15 cigarettes quotidiennes peuvent opter pour un produit dont la concentration se situe entre 6 et 12 mg/l. Quant aux gros fumeurs, cette valeur peut aller jusqu’à 18 mg/l. Certains ajoutent même des sels de nicotine pour bénéficier d’un effet immédiat dans la gorge. Les professionnels préconisent de tester plusieurs dosages afin de trouver le bon, ce qui peut prendre un peu de temps, mais assure d’avoir une bonne expérience de vape.

Vapoter trop intensément dès le départ

Autre erreur courante chez les primovapoteurs, utiliser la cigarette électronique comme une cigarette habituelle. Beaucoup de débutants ont tendance à vapoter de manière excessive pour obtenir leur dose de nicotine, tout en pensant que cette habitude a moins de conséquences que la consommation de tabac. Ce geste a néanmoins des impacts sur la santé et, pratiqué de façon trop intense, il peut causer des irritations de la gorge, de la sécheresse dans la bouche, de la toux ou bien des maux de tête, a fortiori en cas de mauvais dosage.

Les experts conseillent de prévoir des pauses spécifiques pour vapoter, comme on le faisait pour fumer. Ils rappellent également l’importance de boire beaucoup d’eau de manière régulière, car le propylène glycol, PG, a tendance à assécher la gorge.

Tirer sur sa vapoteuse comme sur une cigarette normale

S’il est préconisé de garder ses habitudes de fumeur par certains côtés, la vapoteuse ne s’utilise pas tout à fait comme une cigarette. De nombreux débutants tirent dessus de la même manière, alors que la version électronique fonctionne différemment. En effet, une bouffée trop courte ne permet pas à la résistance de chauffer suffisamment pour produire la vapeur et les arômes attendus. 

Ainsi, vapoter implique d’inhaler doucement et plus longtemps, entre 3 et 5 secondes par bouffée, pour profiter totalement de son e-liquide et empêcher les fuites ou les projections.

Négliger l’apparition éventuelle de signaux d’alerte physiques

Les petits désagréments évoqués plus haut ont leur importance, même si un grand nombre de primovapoteurs préfèrent les ignorer. Maux de tête, palpitations, gorge irritée, toux, vertiges ou encore nausées, tous ces signaux peuvent indiquer une mauvaise méthode d’inhalation, un mauvais dosage du e-liquide, du taux de nicotine, ou l’usage d’un matériel inapproprié. Il demeure donc indispensable d’écouter son corps

Si ce type de symptôme apparaît, la première chose à faire consiste à revoir son dosage et son équipement, idéalement avec l’aide d’un professionnel. Par exemple, en cas de toux persistante, il peut s’avérer judicieux de tester une autre technique d’inhalation, indirecte, MTL, plutôt que directe, DL. Cette méthode plus douce se rapproche de la consommation de cigarette classique.

Oublier de surveiller l’autonomie de la vapoteuse

Une cigarette électronique fonctionne avec une batterie, qui a, de fait, besoin d’être rechargée. Pour éviter de se retrouver en panne au beau milieu de la journée, il est important d’anticiper cet aspect du vapotage. La première chose à faire consiste à choisir une batterie adaptée : les petits pods restent assez limités, alors que les gros modèles équipés d’accus durent plus longtemps, par exemple.

On conseille aussi de toujours garder un câble USB-C sur soi ainsi qu’un chargeur portable ou une batterie de secours. Enfin, il est vivement recommandé de ne pas attendre que la vapoteuse soit entièrement vide et de la recharger dès qu’elle atteint les 20 % d’autonomie.

Ne pas prendre soin de son matériel

Comme tout appareil électronique, une vapoteuse a besoin d’être entretenue régulièrement pour fonctionner le plus longtemps possible de manière optimale. Or, de nombreux débutants négligent cet aspect, ce qui peut rapidement abîmer le matériel, provoquer des fuites ou altérer le goût du e-liquide, par exemple.

Parmi les bonnes habitudes à prendre, on recommande de nettoyer fréquemment le réservoir, ou clearomiseur, pour limiter l’accumulation des résidus de e-liquide. Ceux-ci peuvent, à terme, altérer le goût en bouche. De plus, les résistances d’une cigarette électronique ont besoin d’être remplacées assez souvent, toutes les trois semaines à peu près, selon leur durée de vie et l’intensité d’utilisation. Par ailleurs, on conseille de garder sa vapoteuse à l’abri de l’humidité et de la chaleur, afin de protéger les composants électroniques.

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